Legendes Urbaines...

C'est ça et moi je suis janot lapin ....

Ah ?! Heureuse pour toi

carotte ,carotte ^^

bon alors moi je suis poil de carotte(mdr)

tu sais généralement les gens qui en égorgent d'autres ne sont pas vraiment gentils^^' et puis tu connais un tueur gentil toi ?

Je n'ai pas cette chance ...
A vrai dire je n'ai pas l'honneur de connaitre beaucoup de détraqués mentaux de ce genre ...

moi non plus et je suis pas pressée d'en connaitre

Bon je vait vous mettre une autre petite histoire de ma composition ...

"Le vent soufflait fort sur la plage de St-Tropez cette nuit là, mais cela ne dérangait pas mr Gillmont ,il était habituer a se promenner le soir sur la plage. Les soir car le jour la plage était bondée de touriste gras qui finissait par remplir tellment l'espace que l'on avait une surface reocuverte de serviette supérieur à celle de sable visible.
Depuis toujours mr Gillmont vivait là à St-trop et il n'avait pas bronché quand son village était devenu l'un des lieux les plus prisé de la cote d'azur.
Il avait refusé catégoriquement toute les offres de ceux qui souhaitait racheté sa deumeure.
- Cette maison c'est toute ma vie et ce n'est pas quelque homme d'affaire fusse t'il riche à en avoir les poches qui craque sous les billets se dit-il en lui-même.

1 000 000 d'euros !!!
C'était la plus grosse offre qu'on lui avit faites mais peut lui importait il ne savait même pas combien ça fesait en ancien francs ... (

Depuis toujours ,c'est ce qui lui semblait il avait aimé l'air de la mer ,parce qu'il avait grandit avec sans doute.
Il profitait chaque soir de cet air avant que la pollution ne finisse par lui volé ce plaisir.
- Mais je ne vivrait pas assez longtemps pour voir ce désastre ce dit-il.
Le malheureux si il savait à quel point il avait raison ...

Rien ne l'avait jamais empecher de faire cette promennade ,c'était sacré pour lui ,rien même pas le rhûme mémorable qu'il avait eu en 58.
Alors pensez vous ce n'était pas un tueur qui allait l'empecher de faire sa culte.
Oui il avait lu les journaux ,un tueur fou se balladait en liberté et déjà trois mort à St-Cyprien.
Mr Gillmont s'en fichait.
- Je m'en tappe les jumelles dans le purin qu'il disait.

Tout a sa promenade le malheureux n'vait pas remarqué qu'il était suivi.

C'était étrange la facon dont le tueur procédait ...
D'après ce que mr Gillmont avait lu il plantait d'abord son couteau dans le ventre de sa victime puis les découpait en morceaux et emportait la tête aec lui pour on ne savit quelle raiosn obscure.
- Ca les malades faut pas essayer de les comprendre se dit il encore.

Alors qu'il s'arretait pour prendre un grand bol de l'air qu'il aimait tant il le vit .
Le tueur ... ou devrai-je dire la tueuse...
Une femme aux yeux injectés de sang et à la demarche chaloupée une trainée de cheveux grissonant crasseux qui flottait en bannière derrière sa tête.
Elle avait un visage usé en forme de rictus démonique ,pourtant se visage n'était pas marqué par l'âge mais par la folie ,la femme n'avait pas trente ans ....

Mr Gillmont qui n'avait jusqu'à alors pas prit compte des recomendations des médias aurait pu prendre la femme comme uen simple saoularde qui cuvait son vin sur la plage ..
Mais il était clair qu'elle avait un autre but son instinct le lui criait et ses impréssions lui furent confirmé quand la femme tira une machette de derrière son dos.

Mr Gillmont savait courrir ,vite pour son âge ,et malgré sa santé il courrait encore plus vite qu'il ne l'aurait pu normallment ,ses forces décuplée par la peur.

La tueuse le regarda filé increduel ... cela ne devait pas se passer comme ça elle devait tgué cet homme ... l'éventré ... le découpé ... et pouis ramené sa tête chez elle pour l'exposé à coté des autres.

Bien que Mr Gillmont courrait de toute ces force son allure était loin d'égaler la vitesse de ses vingt an , il avait pourtant l'impression que l'ffot lui coutait plsu qu'un sprint lui déchirant les côtes ;c'est bien simple si il ne mourrait pas sous la lame de la folle il mourrait d'un attaque ...

La folle courrait de sa démarche chaloupée et hurlait à plein poumon
- TU VA CREVER PAPI !!!
Elle n'était pas rapide ,ses autres victimes elles les avait prises par suprises il y avait les amoureux , mort ensemble alros qu'il se bécotait.
D'un coup de lame leur tête avait volé ....
D'habitude ele comencait par l'éventration mais la elle avait du procédé un peu différemment.
Et le clochard qui se réfugiait sous un pont ,elle avait sauter de la rambarde et l'avait écraser ... ensuite la lmae avait fait son office ...

Mr Gillmont était loin déjà il avit mits 200 mètres entre lui et sa poursuivante ,amis contrairement à lui la tueuse ne faiblissait pas.
Il trébuchait , si il ne lachait pas s'abandonnant à la mort c'est sur qu'il allait finir apr tomber et s'étaler dans le sable
-elle n'aurait plsu qu'à m'embrocher après se dit il.
La mort ne l'effrayait pas vraiment ,la douleur non plus ,mais la perspective de se faire découper en morceau.
Il arriva à un escalier qui le fit remonté sur la digue et il trotta aussi vite qu'il put dans la ville ... il ne songeait même pas a appellé il savit qu'aucun son ne sortirait de sa gorge.

La tuesue arriva dans une ruelle elle savait que le vieux se cachait quqleue part derrière une poubelle appeuré et attendant le salut comme la mort.
Elle entendait sa respiration lancinante mais ce qui la guidait s'était l'odeur ....

Mr Gillmont respirait il s'avait que s'était la denrière foi qu'il respirait de l'air et il sétait triste que ce soit la sentueru putride d'un poubelle plutôt que son doux air marin.
Il entendait un bruit de pas ,il était fichu .. non il allait se ressaisir.

La folle était une traquesue elle reconnaissait l'odeur de la chair humaine parmis l'odeur pestillentielle des vide-ordures et poubelles.
Il y avait un vieux déchet qu'ele voualit apssé sous sa lame.
Elle entra dans une ruelle ,il était là derrière une poubelle ;elle ne le voyait pas mais le savait ,une victoire facile l'homme allait mourrir.
Elle poussa un hurlment et charga sa machette brandiemais quand elle l'bbata la ou se trouvait le viel homme elle n'eu pas la sensation de transpercer la chair ...
Sa machette venait de s'enfoncer dans un couvercle ce poubelle.

La folle était décontenacée il avait une chance qu'il n'éspérait pas ,d'un mouvement souple il arrcha la amchette des mains de son agresseuse en tirant sur le couvercle et abbata celui ci comme un batoir.
La femme vacilla tombant à terre.
Mr guillmont courru.
Il n'en pouvait plus il aurait fini ses jours encore gheureux si son coeur n'avait pas laché.
En plein mileu de la rue.
La folle marchait de sa démarche chaloupée vers lui...
- C'est moin drole quand il meurre tout seul.
Elle éclata de rire et commenca à entreprendre son découpage.
Le sang coulait dans la rue."

pauvre homme...

Oh il avait déjà bien vécu.

oui mais qd même...

Et bien il n'a pas souffert trop .. (a par les poumons et le coeur)

et bah t'avais de l'inspiration oki ! C'est trop bien

Oui mais apr soucis de ne pas passé toute ma soirée sur ce texte j'ai tapé un peu vite ..
et les fautes d'ortho et de frappe sont au rendez-vous.

mais c'est quand meme compréhensible

Si tu le dis ...
Enfin j'ia la flemme absolue de corriger l'orthographe ...

pas grave du moment qu'on comrpend

ouai c'est pas mal^^ mais ça fait moins peur que les autres il y a moins de suspens je trouve...

oui trini à raison...avec cette histoire on sait déjà qu'il va mourir le mec car il est trop vieux

Hum si j'ai le temps je vous fait panique au cimetière ...
Mais aussinôn ne nous l'aissons pas abuser apr ce texte d'une longuer effrayante ...
LLol on attend ta nouvelle légende^^

oui desolée je recherche

Enfin je suis pas prsè d'avoir le temps defaire le texte ...

bon bah tant pis alors...on va attendre

Il faudra bien ...

bon allez une petite aujourd'hui

Lors d'un orage électrique, à l'église du village se fît entenre trois coup à la grande porte,Toc Toc Toc. Le pretre ouvrant la porte vit une petite fille au visage blême, aux cheveux sales et aux habit déchirés. Cette jeune petite fille lui dit d'une voix douce:" J'ai faim, j'ai froid voulez-vous m'eberger?" Le prete lui fit signe de rentrer il lui donna une chambre lui déposa au coin du lit des nouveau habits et lui mit sur le bureau une soupe bien chaude, de l'eau et du pain. La petite fille rentrit dans la chambre sans dire un mot. Le lendemain matin le pretre vint dans la chambre pour prendre de ses nouvelles, trouva la chambre vide. Le bol de soupe n'a pas été touché,le lit n'as pas été défait et les habits non pas été pris. Le prêtre se questionna un instant et conclu que la petite était surement géner. Cette nuit encore lors de l'orage électrique, à la vieille petite église se fit entendre trois coup le prêtre repondit et c'était nencore la même petite fille qui était là la meme phrase fut prononcer j'aifaim j'ai froid et j ai soif voulez-vous m'eberger le pretre lui fit signe de rentrer .Cepandant cette fois si il la mis dans une chambre sans fenetre et d'ou la porte pouvait s ouvri que par l exterieur. Le lendemain le pretre ouvrit la porte avec un verre de lait chaud déstiner a la petite fille . Avec stupeur il trouva la chambre vide. Mais comment cela se pouvait il . Le prêtre n en avait aucune idée. Le meme soir trois cout se firent entendre le pretre répondit et la meme petite avec la meme phrase il la fit rentrer et lui dit:" Mais qui es-tu?" Ne répondant pas elle se rendormi dans la meme chambre mais cette fois le pretre cassa la poigné pour etre sur que celle si ne s ouvrira pas. La fin de cette inquiétante histoire et que le prêtre fut retrouver égorger dans sa chambre et avec son sang fut écrit ceci:" Je reviendrais, à chaque 50 je revivrais!"
Vous devez certainement vous demander d ou je tiens cette histoire et bien l'histoire fut retrouver dans le journal du défunt ,le père Lewis. Tandis qu'à chaque 50 lors d'un soir d'orage électrique a minuit précise cette petite fille, si on peut l'appeller ainsi, se manifeste et la suite des évenement vous les connaissez.